| Monsieur Claude DUCREUX Cher Guillaume, Chers Aurélia, Esteban, Romane et Léonie, La perte d'un parent c'est comme une branche arrachée à un arbre. Vous êtes les fruits et les feuilles. Aujourd'hui c'est l'hiver, il fait froid, il pleut et l'arbre doit résister aux épreuves de cette triste saison. Mais au printemps il refleurira. Il n'est pas isolé, autour de lui la forêt est là pour l'entourer. Guillaume tu es l'arbre, solide, l'essence nourricière, ta famille; les fruits, tes amis; la forêt. On n'entend pas mais les arbres se parlent et sont solidaires. Nous ne pourrons pas être avec vous mais penserons fortement à vous. Nous sommes chez Tim. Nous rentrerons jeudi. Transmettez nos sincères condoléances à ta maman. Toute notre affection vous accompagne. Catherine et Marc
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